Ce qui bloque la mise en place de société d’auditeur à DAWUL et en générale au Togo. Je pense avoir mentionné plus haut que je ne suis plus lié à la gestion de la radio. J’ai une vision pour la communication au Togo. - DAWUL a manqué cette chance formidable d’en avoir. Car déjà au début en 2003, les groupes de conteurs et folkloriques se formaient au sien des quartiers et village pour faire des prestations à la radio. Les invitations venaient de partout. C’était l’époque où l’on devrait agir. J’ai suivi ma première formation de radio en septembre 2005 et c’était là j’ai entendu pour la première fois société d’auditeurs. J’avais par la suite beaucoup insisté sur cette nécessité mais hélas la vision d’un administrateur qui réside à 400 km de la radio et les ‹ ‹ professionnels › › sur le terrain est grande. Après les conflits de personnes et la mauvaise gestion on prit le dessus. J’avais élaboré plusieurs projets et planning d’installation de groupes d’auditeur mas ça na jamais été exécuté. Tout ça a fragilisé les finances et aujourd’hui la radio a perdu tout son charme auprès des auditeurs. - les togolais ne croient pas à l’esprit associatif. Même sils arrivent à se mettre ensemble, les cotisations se font rare. Où c’est la politique qui domine. A ce jour, je ne peux dire si une seule radio a pu réussir cet exploit. J’ai piloté le ReR Togo et je suis en lien permanent les autres radios du réseau et le monde médiatique au Togo, aucune n’en possède.
Bonsoir tout le monde bonsoir@meli.quelques petits bobo ne m,ont pas permis d,être présente sur la toile.je crois qui,il n’est pas trop tard pour apporter ma petite contribution au sujet de la semaine.je l,ai mentionné dès l,entame de cette discussion.Dans notre radio nous avons deux émission qui abordent les questions d,agriculture l,une produite localement et l,autre produite par nos partenaires et diffusé sur nos ondes.s,agissant de celle produite localement,elle est intitulée le défit du développement. Une émission qui amene les auditeur a se prendre en charge et a créer leur propre activités dans l,agriculture et autre.même si cette émission n,est directement une source de revenue pour la radio toute fois,elle a à travers ses petites formations aidé certains auditeurs a s,auto employé. Aussi grâce à cette émission les auditeurs de la radio a se mettre en gic et depuis deux oeuvre dans l,agriculture pour soutenir la radio.signalons également que pour son fonctionnement nous d,autres émissions qui nous permettent d avoir des entrée. Focus est une émission spéciale et payant de 30m qui se focalise sur des événements spéciaux les organisateurs viennent apporter plus d,informations afin de susciter l adhésion des auditeurs.plus les évement sont constant plus la radio en tire profif et surtout que l adhésion des auditeurs a ses différents programmes encourage les organisateurs à revenir. Merci. . Béa.
Revenant à la pensée de notre personne ressource @Denis Lindo, je pense qu’il à raison, lorsqu’il dit que Avant que n’importe laquelle de nos stations puisse générer de l’argent, l’auditeur doit avoir une bonne connaissance des aspects suivants sur la radio;
La station en tant que personne morale
Les différents aspects de l’émission
La personnalité du présentateur ou de la présentatrice
Avant que ce qui précède ne se produise, il pourrait y avoir des difficultés à convertir l’auditoire en argent.
La Station - en tant que personne morale:
Ce point est détaillé dans les aspects suivants;
a) La fréquence de la station
b) Le nom de la station
c) L’indicatif de la station
d) La qualité du son
e) Le (s) style (s) des émissions de la station
f) La langue de diffusion de la station
g) Le leadership de la station
Denis Lindo a raison du fait que nos radios souffrent de la qualité sonore, du leadership de la station, la couverture géographique de la radio et bien d’autres.ces éléments peuvent influencer pour générer ou non les revenus; cela peut-être justifié par la qualité ou la des matériels utilisés par la radio. Et dans notre cas, je peux affirmer que ce sont les matériels qui font à ce que l’on arrive pas à générer plus de revenus.
Un message a été intégré dans un sujet existant : Semaine 4 : Utiliser les médias sociaux pour générer des revenus pour votre émission agricole
Mon cher tenez fort et travailler beaucoup surmonter cette difficulté. ayez seulement courage
@Mpanda
J’adore cette expérience que j’ai un peu négligé mais vous me faites encore courage de faire cette émission avec L’Institut Supérieur de Développement Rural des Grands-Lacs de Rutshuru, c’est une Institution aussi qui fait des descentes sur terrain avec les étudiants en deuxième année de graduat partent chaque année en sorties professionnelles dans les milieux ruraux pour deux semaines pour être en contact avec les paysans et être au courant des difficultés qu’ils traversent dans l’exercice des activités qu’ils organisent dans leurs milieux visant le développement rural. comme cette année 2014 et ici au mois d’avril ils vont encore faire cette descente je vais travailler avec eux pour enrichir mon émission et proposer à ISDR-GL/RUTSHURU le sponsoring de cette émission.
@Mpanda Je viens de tirer de votre expérience une laisson. Merci encore
Oui cher rukata,je crois s’il y a une synergie peut être on peut parvenir à trouver des fonds pour nos émissions. Vraiment la réalité de chez nous est contraire par rapport aux autres qui sont intervenu dans cette discussion.
Dans le cas de mes émissions écologiques voire environnementales à la radio télévision unité béni, par exemple les pages Facebook sont portées par l’image de différents présentateurs. Les photos de couverture les présentent. Les présentateurs sont souriants, à l’avant de l’image. Si ce ne sont pas eux qui utilisent les réseaux sociaux de l’émission qu’ils présentent, ils en portent cependant l’identité.
Donc il sied de vous dire ici que Facebook occupe plusieurs fonctions selon la temporalité, que l’on se situe avant, pendant ou après les diffusions des émissions dans ma radio. Avant la diffusion, les réseaux sociaux dans ma radio permettent d’annoncer la diffusion du programme. La rédaction de l’émission utilise Facebook ou wattsap, linkedlin, vidéo, imo, Viber,… pour rappeler que l’émission va être diffusée. En ce sens, ces réseaux sociaux occupent une fonction qui, jusqu’alors, n’était occupée que par les magazines dans ma radio ou des annonces (spots d’annonces).
L’exemple parlant à ma radio Facebook a pour intérêt de figer les éléments sur le mur de l’émission et de le proposer sur le mur Facebook des internautes qui s’y sont abonnés. Dans le cas des émissions agricoles, une fois que les émissions ont commencé, un message l’annonce sur son compte Facebook en invitant les internautes à la commenter via les réseaux sociaux.
Au cours de la diffusion des paroles et des actes, les émissions extraits, pour le compte Facebook, des citations accompagnées d’images. Il ne s’agit pas d’images de l’émission en train de se dérouler, mais de photos des plantes, des produits que l’on cite. La citation est toujours accompagnée d’un commentaire ou d’une question. L’ambition de ces émissions est ici de générer des commentaires de la part des internautes, ce qui permet au compte Facebook (et donc aux différentes émissions en caractère écologiques voire environnementales ou agricoles et d’autres au sein de ma radio) d’acquérir de la notoriété. Ce sont les internautes qui entrent en dialogue, car les journalistes, sauf exception, n’interviennent pas dans le débat sur les réseaux sociaux.
Toujours pendant la diffusion des émissions, il est possible de revoir de courts extraits de ce qu’il vient de se passer. La fonction de replay gagne en réactivité, et Facebook et autres réseaux que nous utilisons permettent à des internautes de voir des extraits qu’ils n’ont pas vus soit écoutés.
Après les émissions enfin, un post publié sur Facebook et autres réseaux sociaux que nous utilisons proposent de revivre les points importants du dernier débat . Et que donc, les réseaux sociaux fonctionnent comme une vitrine de mes émissions. Aussi, On peut y retrouver des extraits des débats ou des reportages diffusés pendant les émissions.
Nous venons de le voir, l’intérêt des réseaux sociaux pour ma radio télévision unité béni. En plus, il est à signifier ici que dans le cadre de l’interrogation que vous avez faite, sur l’apport de ces réseaux sociaux dans ma radio, et bien au surplus, considérons en effet ces deux points de vue : celui des émissions elles-mêmes et celui des pages des réseaux sociaux de ces émissions. In fine, on parle bien de la même chose, l’émission, qui s’exprime sur des supports différents.
Dans chacun de ces cas, la promesse d’interaction reste relativement mince dans le sens où peu de messages sont émis par la rédaction pendant la diffusion, et qu’ils ne suscitent pas (ou peu) de réponses des invités ou journalistes. Le (la) rédacteur (trice) en chef pour chacune des émissions regrette ce manque de réactivité et elle / il aurait voulu développer plus encore d’aspects.
Par dessus tout, Chers amis, pour ne pas vous prendre du temps dans la lecture, pour l’heure, et surtout en ce qui concerne Facebook, les réseaux sociaux servent la radio essentiellement à appuyer le discours de la chaîne et de ses émissions, mais ils ne bouleversent pas la façon de penser à ma radio. Ainsi, La lecture des messages diffusés sur les réseaux sociaux donne des idées pour de nouveaux sujets ou, plus simplement, renseigne sur l’humeur des internautes et donc les orienter dans leurs choix d’invités. Pour moi, il s’agit de « quitter cet entre-soi dans lequel nous, journalistes, risquons de tomber, et de faire entrer les auditeurs dans nos discussions en amont de la préparation de nos débats . La réception est structurée par un travail de présentation de soi et subordonnée à un jeu social de la figuration de soi . Dès lors, en témoignant de leur façon de recevoir le programme, les auditeurs entrent dans une forme de dialogue indirect avec la rédaction, qui est à l’écoute des réactions pour penser les émissions à venir.
Il arrive qu’une émission fasse beaucoup de buzz sur les réseaux sociaux sans que pour autant cela corresponde aux résultats d’audience en termes des auditeurs. En matière d’audience, avoir une bonne audience sociale (nombre de messages émis sur les réseaux sociaux pendant la diffusion d’une émission) n’est pas toujours corrélé à une bonne audience en matière de nombre des auditeurs. Il arrive qu’une émission fasse beaucoup de buzz sur les réseaux sociaux, crée du débat voire de la polémique, sans que pour autant cela corresponde aux résultats d’audience en termes des auditeurs voilà. Les sujets clivants créent du débat mais n’apportent pas systématiquement une forte audience.
Parachevant mes idées, il existe bel et bien une communauté qui se rassemble grâce aux réseaux sociaux, montrant qu’en l’espèce, ce sont moins les contenus ou le système de communication qui importent, « mais bien la forme de la relation sociale qui s’établit à l’occasion de la communication.
Chaque communauté possède en effet ses règles, codes et mises en scène, et chaque communauté repose aussi sur le sentiment d’appartenir à un collectif. Ce sentiment d’appartenance porte en lui les enjeux de la radio de demain, on communique et on communie autour de ce qui nous rassemble et avec des personnes qui nous ressemblent. C’est exactement de cela que se saisit ma radio télévision unité béni, en permettant aux auditeurs et téléspectateurs de s’exprimer sur les sujets environnementales et/ou écologiques (agricoles)et de société. L’interactivité n’est pas présente, mais de nouveaux lieux de discussion émergent, favorisant l’esprit d’appartenance à une communauté de publics. Voilà ce que j’ai voulu augmenter dès lors. Merci
bien dit a @Aaron, je suis fier de ton expérience qui est comme ce que je fais. seulement que moi je ne fais que annoncer la thématique de l’émission sur le mur de la page Facebook de la radio et dans le groupe, je leurs donne le rendez-vous de l’émission l’heure et le contenu. Ce que je ne fais pas c’est envoyer les images explicitant l’émission ou envoyer les extraits pour ceux là qui n’ont pas suivi l’émission. Donc je viens d’apprendre chez vous qu’il faut qu’après l’émission je dois envoyer aussi les images et les sons.
Merci
Bonjour chère communauté en ligne,
Je m’excuse du silence, j’était en visite de terrain avec une ONG qui intervient dans le cadre de la résilience face au changement climatique et là où nous étions il n’y avait pas de couverture réseaux.
Dans notre Radio (Radio Wassoulou), je suis chargé de l’emossion parole paysane tous les jeudis de 20h 30 à 21h et rediffusée les samedi à 7h30 nous faisons le déplacement pour aller dans les champs et les jardins maraîcher pour réaliser des émissions avec ceux qui ont réussi dans leurs activités pour qu’ils partagent leurs expériences les autres surtout la jeune génération. Nous faisons comprendre aux jeunes que nous pouvons réussir sans être dans bureau. A travers ces différentes productions l’ONG PAPAM (Projet d’Accroissement de la Productivité Agricole du Mali) nous a contacté pour signer un contrat de prestation et leurs aider à sensibiliser les producteurs sur les avantages de la production du riz, de la pisciculture, le maraîchage tout en tenant compte de l’aspect du changement Climatique. Cette ONG a même appuyé certains des producteurs avec qui nous avons eu à interviewer pour augmenter leur revenu.
A l’heure actuelle beaucoup de producteurs sollicitent cette émission et payent même nos frais de déplacement. Il ya aussi beaucoup de jeune qui se sont lancé dans la productions de l’arachide en contre-saison qui est très rentable car le sac de 100kg d’arachide peut aller jusqu’à 30 000f en cette periode.
La radio elle-même est sa source de revenu, il faut seulement mettre du sérieux et du professionnalisme dans tout ce que nous faisons et avoir toujours de nouvelles perspectives et il ne faut pas oublier que les partenaires nous écoutent d’abord avant de s’intéresser à nous.
Seydou Camara
La radio ciwara fm de kadiolo, tire ses ressources des prestations, à savoir les avis et communiqués, les publicités, les reportages, et souvent les contrats de prestations signés par des ONGs et autres projets et programmes.Il y’a aussi la vente de cartes de membres et le sponsoring des émissions par certaines structures ainsi que des personnes individuelles. Mais la radio Ciwara fm a une négociation particulière des publicités, nous avons ciblé certains commerçants potentiels pour un signer un an de publicité renouvelable à un prix forfaitaire. Pour
Comment diversifier nos sources
La radio ciwara a noué un partenariat avec des prestataires qui fournissent du materiels consommables et de fournitures contre publicité.On a un commerçant qui fourni des piles, les ampoules, les CD, ou clé USB.Un autre gestionnaire de cyber café, est chargé de faire l’entretien de nos machines, fourni la radio en anti-virus etc contre publicité. Et le dernier exemple est la convention entre la radio et une compagnie de transport, qui permet aux détenteurs des ordres de missions de la radio de voyager gratuite sur toutes les lignes que désservent la compagnie dans le pays et ça aussi contre publicité.
.Voici donc chers amis quelques expériences que j’ai voulu partager avec vous.
Courage Cher Moussa car faute des moyens on ne peut être partout à la fois mais à travers ces opportunités on peut faire l’essentiel profitant des des ces sorties.De notre part, on se prépare encore pour le faire lors des dits sorties d’ici fin mars.
M. Barry vient de présenter un bel exemple à suivre.
Merci