Semaine 2 : Connaître votre auditoire – Comment convertir vos cotes d’écoute en sources de revenus?

Ce financement nous a permis d’acquérir de matériels travail ( émetteur de 500 Watt, une moto) pour la radio, à réaliser plus de magazines en langues nationales sur la gestion Pacifique des conflits. Les agriculteurs et éleveurs ont ensuite tracé des couloirs de transhumances. Notre zone d’écoute est améliorée.

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Merci @Foka_mapagne.

Merci @MOUSSA de partager avec nous cette expérience savamment construite et réussie. J’en suis flaté :wink: . Vous vous êtes servi d’une stratégie relationnelle de proximité bien pensée pour établir une véritable symbiose entre votre radio et la communauté environnante. Un dispositif qui sert tout le monde et fait reculer la pauvreté.
Dans l’attente de lire comment ce dispositif génère des revenus pour votre station radio.

Merci
Meli

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Bonsoir la communauté bonsior @meli je suis là pour la suite des activités.Alors comment connaître notre auditoire et quel apport dans les revenus de notre structure c,est très simple à la radio bonne nouvelle nous avons mis sur pied des émissions interactives selon que chacun trouve son compte il se manifeste à participant à l’émission en appelant mais aussi en faisant le déplacement de la radio.aussi il n,est pas rare que lorsque, on passe dans la ou des quartier que des gens nous interpellent et nous dire su,il nous suive avec intérêt quoique,ils appellent pas ils sont connecté chose qui se vérifie par le poste radio en marche.Bien plus à la radio bonne nouvelle nous avons les clubs des amis et auditeurs dans plusieurs localités qui se réunissent chaque mois pour mieux souder les liens et apporter leur soutien à l’instar des contributions financieres et bien plus c’est le club des auditeurs qui a eu l idée de mettre sur pied il y’a deux ans le projet agricole sous leur fond promrey et dont les revenus sont mis à la disposition de la radio pour son fonctionnement. Il est important de préciser qu,en plus des réunions mensuelles, toutes les différentes antennes du club des auditeurs se retrouvent chaque fin d’année au chef lieu de région pour des grands moments mobilisation de bilan de leurs activités une occasion encore pour

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Bonsoir @moussa ta predentation ma vraiment ravis parce-que la stratégie mise sur pied pour mobiliser les auditeurs est presque identifier à la notre.Regrouper les auditeurs au sein d,un club,aller à leur rencontre leur donne de comprendre leur rôle tout important pour la vie d,une radio c’est une expérience excitante qui nous encourage à donner le meilleur de nous pour les satisfaire.Encore je suis ravis de ce lien entre ta radio et la notre ici à l’ouest du Cameroun merci. Bea

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Voilà j,ai eu quelques desagrements qui ne m,ont pas permis de clôturer mon propos.Bref je disais donc plus haut qu,en plus des réunions mensuelles le club des auditeurs de la radio bonne nouvelle de différentes localités de retrouve chaque fin d,année pour de grand moments de communions.occasion qui leurs permet de lever des fonds pour le fonctionnement de la radio.c est une expérience on ne peut plus fascinante et encourageante. Merci. Bea

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L’expérience de ma radio est vraiment complexe. Nous n’avons pas de financement d’aucune ONG mais nous vivons de l’autofinancement. ce dernier est issu de différentes stratégies misent en place à travers nos émissions interactives. Dans le domaine de l’agriculture, à travers nos reportages réalisés dans ce domaine, les ONG locales qui œuvrent dans ce domaine nous contactent pour leur produire des reportages, les spots publicitaires de l’agriculture, élevage et de l’environnement; et qui en retour nous payent ses services et payent les diffusions à notre station. A part cela, nous avons un partenariat avec une organisation locale, qui produit l’émission Espace vert à nos antennes et à chaque fin du mois, il y a une sommes que cette organisation paye la radio, pour l’amortissement de ses matériels.

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Bonjour Tengo @Bea. Merci de partager avec nous cette expérience fascinante de l’Ouest Cameroun qui coincide avec celle de @MOUSSA de la RDC. Je garde le souvenir de la rencontre de fin d’année de ta radio pour y avoir représenté ma radio en 2008 lorsqu’on levait les fonds pour construire l’immeuble siège de Radio Bonne Nouvelle Bafoussam. Avez vous dejà integré ce siège @Bea?

Chers collègues de la communauté Barza,

Je viens par la présente, partager avec vous mon expérience en matière de génération des revenus pour financer une émission agricole.

L’émission agricole, comme toute autre production radio, nécessite des moyens pour couvrir les postes de dépenses liés à l’émission (prise en charge de l’équipe de production en termes de salaires, frais pour descentes sur le terrain, achat et entretien des équipements etc.).

Au vu de la portée de l’émission agricole, parce qu’elle touche une frange très importante de la population, il convient de développer cet aura et de l’intégrer dans la stratégie marketing de la station pour toucher des clients intéressés comme des structures spécialisées dans la vente et/ou la distribution des intrants agricoles et autres organismes étatiques ou ONG qui promeuvent l’agriculture et la santé communautaire. Ces structures peuvent soutenir l’émission sous la forme du sponsoring des jeux et l’insertion des publi-reportages et des coproductions.

La coproduction est l’option que je maitrise un peu, l’ayant au détour d’une rencontre fortuite, expérimenté moi-même dans mon émission agricole pendant trois années et avec succès. Alliant volonté, stratégie et rigueur dans l’organisation de mon émission agricole, je me suis inconsciemment constitué une très forte audience, attirant par là, l’attention d’un sponsor que je rencontre au hasard lors d’une descente sur le terrain. En fait, j’apprends part le biais d’un communiqué diffusé dans ma radio courant 2009 qu’une organisation va tenir le lendemain, une réunion avec des producteurs de pommes de terre de la zone des monts Bamboutos à une cinquantaine de kilomètres de Bafoussam où ma station est située. Sans attendre la radio qui n’a pas toujours les moyens pour financer les descentes sur le terrain, j’enfourche ma moto, bravant la pluie et la boue sur des collines escarpées, pour m’y rendre. A l’ouverture de la réunion, lors des présentations individuelles, je me rends compte que tous sont très intéressés par ma présence.
Pendant la pause, la Dame, responsable de la branche locale du Programme National de Développement des Racines et Tubercules au Ministère de l’Agriculture et du Développement Rural du Cameroun, qui pilote cette rencontre, m’appelle à coté et dans un échange, elle me fait part de l’admiration qu’elle a pour ma radio et mon émission agricole et dit son intention d’utiliser cette émission pour promouvoir ses activités. 2 mois plus tard, après de multiples consultations entre cette structure et ma radio, le protocole de collaboration est signé pour 1 500 000 F CFA par an, renouvelable. Ce contrat prévoit entre autres dispositions, la mention du partenariat au début et à la fin de chaque production, la diffusion des communiqués de l’organisation et la réalisation/diffusion des reportages liés aux activités de l’organisation.

En vérité, ce partenariat qui a été reconduit deux fois, m’a mis à l’abri du besoin dans le cadre de mon émission agricole hebdomadaire et après trois années d’une fructueuse collaboration, au moment où le Programme fermait ses portes, une autre organisation régionale (Union Centrale des Coopératives Agricole de l’Ouest), a pris le relais offrant un forfait annuel de 500 000F à ma Radio.

N’ayant pas de notions en marketing je m’étais contenté de cette source sans chercher à diversifier pour créer une sorte d’assurance sur la durée. L’autonomie et la pérennité d’une émission agricole nécessite un engagement fort des acteurs. Produire une émission sur la durée nécessite une prise de conscience du présentateur ou de la présentatrice mais aussi et surtout des responsables ou dirigeants de la radio qui se doivent d’intégrer sa portée dans la stratégie marketing pour générer les fonds nécessaires pour son fonctionnement.

Si vous avez des questions pour mieux comprendre, n’hésitez pas de cliquer sur le bouton ‹ répondre › et de laisser votre question ici.
Merci
Meli

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Bonsoir chers membres et bonjours je vous fais alors la suite de ma petite expérience concernant notre auditoire qui permet d’attirer des annonceurs potentiels ou des sponsors pour nos émissions.
Après avoir structuré les auditeurs, et les organisé comme des associations pour la radio, ces clubs d’auditeurs financent d’abord la radio à travers les annonces et communiqués (nécrologiques, recherche, dédicaces, avis au public,…) qu’ils envoient à la radio. Pendant les réunions j’ai informé au public que celui qui veut passer un communiqué ou un dédicace il peut le remettre au président du radio-club de sa juridiction et lui nous le transmettra. C’est ainsi que j’ai mis un autre numéro en ligne où les présidents des radios clubs envoient des messages vocaux ou des texto de communiqué à la radio et la réceptionniste a un cahier où elle mentionne le nombre des communiqués diffusés au compte de tel ou tel autre radio-club. Vers le 25ème jour du mois la somme de tous les communiqués, annonces et dédicaces est envoyée à la radio par différentes voies et un petit pourcentage est resté aux radio-clubs pour leur fonctionnement (acheter les cahiers des présences, etc.). Pour les dédicaces, le journaliste chargé des radio-clubs, va avec le magnétophone pour prendre les voix des gens qui sont prêt à envoyer les dédicaces et il revient avec les papiers écrits des dédicaces (pour ceux qui ne l’on pas fait par la voix). C’est aussi un moyen de financement qui vient de nos radios-club.
Un autre bienfait que notre radio tire des radios-clubs, certains membres appuient la radio financièrement en cas des difficultés surtout le cas de l’électricité qui pèsent sur la radio à cause de son coût plus élevé, ces auditeurs sponsorisent les émissions qu’ils jugent capital, telle que l’agriculture et le développement ; l’agriculteur et l’agriculture. Vraiment c’est un potentiel pour la radio. Les radios clubs qui font des projets agricoles qui réussissent nous apportent une partie des récoltes pour le fonctionnement de la radio et ceci en guise de reconnaissance aux notions agricoles et de développement qui bénéficient de la radio.

Comment ces auditeurs nous attirent-ils des annonceurs potentiels ?

C’est quand les annonceurs arrivent avec des émissions ayant de financement, ces anoncceurs font des enquêtes du degré d’audition dans la ville où nous sommes et dans les localités qui nous entourent, ce sont nos auditeurs qui orientent les partenaires. Ils disent « nous avons notre radio c’est la Radio Communautaire la Vérité une église au milieu du village, nous avons intérêt à suivre cette radio car elle répond à nos attentes et nous sommes satisfaits des enseignements qu’elle nous fournis pour développer notre agriculture et notre propre développement ». Ils s’approprient la radio car lors d’une assemblée générale chaque année, nous tenons compte de leurs suggestions et recommandations, mêmes les autres mises dans la boîte à suggestions.
C’est ainsi que les annonceurs et les bailleurs des fonds pour certaines émissions ayant comme cible cette population viennent à la radio car ils sont bien rassurés que les messages qui seront transmis à notre radio vont atteindre la cible, et c’est pour eux une réussite. Les auditeurs fidèles nous amènent la clientèle.
Enfin, il n’y a pas plus d’un mois que j’ai la chance de décrocher un partenariat avec FAO qui finance les associations locales qui interviennent dans l’agriculture. Ces associations ont signé avec nous des contrats qui aident à la survie de la radio, et ce sont nos auditeurs qui ont suggéré à FAO et ses associations membres de sponsoriser les émissions d’agriculture à la radio. FAO appuie les associations locales qui interviennent dans l’agriculture et PAM vient acheter les produits agricoles dans ses interventions de lutte contre la faim.

MOUSSA

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M. Meli, en vous lisant, votre effort était un plus pour la radio et vous même. En quoi les agriculteurs ont tiré profit de l’émission. Que s’est-il passé avant, pendant et après l’émission !

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Bonjours chers membres dans ce forum
Je suis très ravi de vous partager mon expérience au sujet de la thématique génération des revenus pour financer une émission agricole. Chez nous à l’Est de la république démocratique du Congo en tout cas il est difficile pour qu’une émission agricole génère des revenus. Le grand problème est que les cultivateurs ne produisent plus comme il faut. Les champs sont restés improductifs malgré des techniques qui sont vulgarisées et la majorité des cultivateurs préfèrent abandonnes cette activité. Un cultivateur peut planter 10 mesures de haricots mais il va récolter moins de 10 mesures. Certains se désintéressent en tout cas.
Les cultivateurs s’intéressent à suivre des techniques que vulgarisent les organisations et techniciens, certains appliquent mais il y a baisse toujours de production. Nous les accompagnons à travers nos émissions et ils ont le souci d’y participer pour exprimer leurs problèmes.
Il y a des organisations nationales et internationales qui les accompagnent mais qui la plus part d’elles n’utilisent pas des radios. Nous travaillons souvent avec une organisation dénommée harvest Plus qui n’a pas assez de moyens pour financer aussi des émissions agricoles. Je trouve que nous sommes encore loin de trouver des partenaires capable de financer nos programme.Nous faisons nos moyens possible pour remplir notre mission celle d’eduquer,de sensibiliser etc.

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Merci cher Meli de nous partager votre experience.
chez nous on peut avoir des organisations qui ont besoins des emissions et elles l’expriment mais souvent leur budget ne prends pas en compte les emissions agricoles.Egalement la notion de marketing cause encore des problemes.
Question:que pouvons nous faire pour contournes nos defis ayant lit mon experience?
Toutes les pratiques que tu evoque dans ton experience nous l’avons deja applique mais pas des resulats.
merci

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Bonjour @Foka_mapagne. Avec cette expérience, j’ai compris qu’en mettant du sien avec désintéressement pour réussir ce que l’on fait, on peut parfois atteindre des résultats inimaginables. En allant sur le terrain pour couvrir la réunion des producteurs de pommes de terre, mon souci était tout simplement de varier le contenu de mes émissions. Au bout du compte, j’ai obtenu des ressources qui m’ont permis pendant trois ans de produire sans difficultés. Ma radio m’a alloué environs 40% des fonds pour l’émission tandis le reste était versé dans la caisse principale de la radio.

Ce partenariat m’a permis de faire entendre les voix des agriculteurs et agricultrices des zones les plus reculées et d’accroître le taux d’écoute pour mon émission et la radio. Je suis allé dans un village où ma radio était écoutée mais où aucun journaliste ne s’était encore rendu. Ce village n’avait pas de marché pour écouler sa forte production de patate et cossettes de manioc. Quand j’ai diffusé l’émission sur le village, l’administrateur de la localité a signé une décision pour créer un marché dans le village au grand bonheur de ces agriculteurs et agricultrices qui pouvaient désormais écouler leurs produits sur place.

Sur le plan personnel, ce partenariat m’a permis de gagner en expérience en faisant valoir mes compétence, d’être plus présent sur le terrain et j’ai aussi gardé de très bonnes relations avec les partenaires qui étaient plus que satisfaits des résultats.
Merci
Meli

Merci Meli pour ces éclaircissements.

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Bonjour @Moussa. Vous avez axé votre stratégie sur la mise en place et la rentabilisation des clubs d’auditeurs (radios-clubs) et ça marche. Votre expérience montre une véritable relation de confiance qui s’est installée entre votre radio et ses auditeurs qui constituent un socle solide sur lequel la radio est ancrée.

A vous lire, l’on perçoit une véritable chaine de reconnaissance qui s’est installée et qui stimule l’économie locale. la communauté satisfaite des enseignements de la radio se met à fond pour générer les ressources financières et matérielles qui permettent à la radio de fonctionner. Les acteurs extérieurs (ONGs) ont compris celà et se servent de cet outil important qu’est la radio locale pour toucher leur cible. Le partenariat avec l’Organisation Mondiale pour l’Alimentation et l’Agriculture en est une illustration sans oublier le Programme Alimentaire Mondial qui achète les produits agricoles dans le cadre de ses activités de lutte contre la faim.

Merci beaucoup Moussa de partager ces bonnes pratiques avec la communauté en ligne.

Bonjour @josue. Il est vrai que chaque communauté a sa spécificité. Vous présentez une situation devenue difficile du fait de la pauvrété des terres qui désinteressent les agriculterus et agricultrices. Pour solutionner ce problème à mon avis, il convient avec le concours de l’Etat et/ou des ONGs de trouver un moyen pour amener les agriculteurs et agricultrices à regagner confiance en la terre.

La communication radio dans la langue locale est d’un enjeu capital ici et suppose la mise à disposition des moyens d’accompagnement. ça passe necessairement par l’entrée en jeu des spécialistes (agronomes), pour l’étude de l’écosystème local et la mise en oeuvre des techniques qui permettent de regénérer les sols en utilisant des méthodes de fertilisation adaptées.

Le processus peut être un peu long mais bénéfique à terme, car la production retrouvée, verra un retour des ressources dans l’économie locale.

Merci à tous
Meli

Merci bien frère Mussa

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Bonjour chers tous. En faisant preuve de respect pour le travail que ma Radio d’obédience environnemental exécute et pour ses idées, il est plus vraisemblable que les agriculteurs accueillent de nouveau dans leurs collectivités. Il est également important d’être honnête et transparent dès le départ. Dans différents magazines nous essayons d’expliquez le but de notre visite qui consiste à rencontrer les agriculteurs et à obtenir leurs commentaires. Et que nous utilisons ces commentaires pour concevoir des émissions et magazines radiophoniques qui les aidera dans leur pratique de l’agriculture. Et cela passe au travers les Cinq activités de recherche que nous mettons sur pied dont:

  • l’utilisation des émissions de radio et les téléphones mobiles pour recueillir de l’information

Émissions et magazines de radio: nous réalisons des tribunes téléphoniques et demandons aux agriculteurs d’appeler et de parler des enjeux agricoles qui sont très importants pour eux.

Boîte vocale: nous Mettons en place un système de messagerie vocale et demandez aux agriculteurs de téléphoner et de mentionner leurs principales préoccupations en matière d’agriculture et de sécurité alimentaire.

Textos–SMS: sous forme des SMS, Premièrement, Nous pouvons demander des rétroactions sur des questions très précises. Les animateurs des émissions posent des questions et demandent aux agriculteurs d’y répondre par des messages textes. Nous pouvons poser des questions différentes à des jours différents ou mettre sur pied un « sondage » dans le cadre duquel les auditeurs répondent à une question. Par exemple, une question à laquelle les auditeurs répondront par oui ou non OU par toujours, parfois, rarement ou jamais. Conservons un décompte des réponses des agriculteurs à nos « sondages » et à nos questions. Il est évident que l’utilité des messages textes dépend de la disponibilité des téléphones mobiles et du niveau d’alphabétisation des utilisateurs. Les sondages textes peuvent ne pas fournir un échantillon représentatif des agriculteurs dans la contrée.
Deuxièmement, nous posons des questions plus larges au sujet de l’agriculture ou des moyens de subsistance, ou simplement informer notre auditoire que notre station aimerait que les auditeurs lui disent quels enjeux en matière d’agriculture ou de moyens de subsistance ils jugent les plus importants. Cette approche est plus large et moins ciblée. Mais, surtout si nous avons eu une interaction limitée avec notre collectivité d’écoute, elle peut constituer un moyen efficace pour encourager nos agriculteurs-auditeurs à participer et à exprimer leurs principaux besoins.

  • Visiter les marchés locaux

Les marchés locaux constituent un endroit formidable pour rencontrer des agriculteurs, souvent de plusieurs collectivités différentes.
Par dessus tout, ma Radio télévision unité béni bénéficie des petites contributions de la part des agriculteurs et groupes agriculteurs.

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annonceurs potentiels ou des sponsors pour vos émissions?
Avoir des informations sur son auditoire est un indicateur capital pour attirer les annonciateurs. C’est le préalable à toute discussion, cela nous permet de dire avec exactitude les zones d’écoute potentielle, pour convaincre les partenaires. Cela peut aussi faciliter les sondages qui seront menés par les partenaires. Pour connaitre ces informations, on peut également initier des émissions interactives, pour mieux les identifier.

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Bonjour chers collègues

Partant de l’expérience de notre modérateur @Meli j’ai constaté qu’il faut d’abord faire un effort pour mettre en place l’émission l’animer et la rendre attrayant à travers les notions et les enseignements de qualité qui se rencontre avec le souci des agriculteurs. c’est dans cet angle que je viens de signer un contrat cette semaine de quand nous dans Barza nous discutons à la deuxième semaine; avec une association régionale dite « Ligue de Organisations des Femmes Paysannes du Congo » LOFEPACO, pour une durée de 6 mois comme essaie. J’ai fais comme @Melie :smiley: et là ils ont intéressé mon journaliste qui allait couvrir une activité du lancement officiel des activité de cette saison B 2018. ils lui ont demandé de leur donné le numéro du directeur pour trouver une émission à la radio et suppléer aux efforts des autres animateurs à la radio. Bref il faut faire un pas pour être accompagné après. frère @Josué ne te décourage pas tiens fort.

Le mois dernier, j’ai signé un partenariat avec une grande ONG nationale Search For Common Ground qui vient de me financer avec une somme de 2000 $ US équivalent à 3 400 000 Francs congolais pour une période de 10 mois à raison d’une émission par semaine encore pas plus de 20 minutes; ce contrat est renouvelable pour 3 fois donc au total si je travail bien avec cette structure je vais bénéficier de 8 000$ pendant 4 ans à raison de 2000$ par an. La condition que cette organisation vient de me faire est de lui donner mon état de besoin en matériels pour cette année 2018 pour qu’elle m’amène un équipement égal à la somme. c’est une émission agricole afin de promouvoir l’agriculture et quitter l’agriculture de substance vers l’agro-busness. Ce sont mes auditeurs qui ont orienter cette ONG à ma radio après une enquête de viabilité de la radio faire par cette ONG.

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