Lorsque la discussion en ligne commencera le 26 février, nous vous invitons à utiliser cet espace pour interagir avec les autres et discuter de sujets qui ne sont pas abordés chaque semaine de la discussion.
De passage, pour prendre une tasse de café et terminer la journée en beauté.
Avez-vous déjà songé à utiliser WhatsApp, Skype ou tout autre programme web 2.0 pour faire du direct en tant que reporter, prendre des avis au sein de votre communauté, initier un jeu radiophonique, réaliser une interview avec un expert, etc ?
Quel retour d’expérience ?
Non, je l’ai pas encore essayé. Ça donne quoi? Ça m’intéresse.
Merci @Sergeadams pour cette brèche qui nous donne une matière à réflexion. A mon époque à la radio il y a une dizaine d’années, ces outils n’existaient pas encore mais aujourd’hui, comme s’interroge @Ibine, je perçois surtout en WhatsApp, un outil important pouvant aider les radiodiffuseurs à recueillir le son à distance, à obtenir et vérifier des information par des images et bien d’autres possibilités. Le grand avantage avec cet outil serait la flexibilité et l’instantanéité qui collent bien avec les exigences de la radio de nos jours. Il est en plus associé au téléphone que nous amenons avec nous partout. C’est ma perception.
Meli
Bonjour cher sergeadams.votre réflexion est très importante surtout pour obtenir une qualité meilleure de sons.Watsap oui mais la plus part des nos interlocuteurs comme les paysans ne savaient pas manipuler le watsap.on aura toujours des difficultés pour avoir les informations des agriculteurs que nous visons.Par ailleurs cela est possible pour ceux de pays développé.
Josué, je partage ton point de vue. Quand RRI nous a fait produire les émissions sur la filière karité dans la Sissili, nous avions vraiment des difficultés pour la rétro action avec les GEC (Groupes d’Ecoute Communautaire). Non seulement, on avait à faire à des femmes non instruites, mais également il fallait les familiariser à cet outil.
Un accompagnement de proximité peut donc faciliter l’utilisation de cet outil en milieu rural et contribuer ainsi à l’enrichissement des productions radio @josue @Ibine
Nous utilisons WhatsApp et une application mobile pour faire participer nos auditeurs à nos émissions vu que le coût est presque négligeable, il suffit juste d’avoir un forfait internet.
Expliquez- nous comment vous les amener à participer. Et de quelle application parlez vous. Ça pourrait nous intéresser dans notre radio.
En effet nous avons organisé un réseau de clubs d’écoute autour de la radio avec lesquels nous travaillons et qui nous sert pour avoir des feedback de nos émissions mais au-delà de ces clubs tout auditeur peut réagir en direct sur une émission donnée en donnant son avis ou en apportant une contribution sur un thème bien précis. Concernant l’application mobile elle est telechargeable gratuitement sur playstore et chaque auditeur qui le souhaite peut l’installe sur son smartphone pour pouvoir écouter la radio en direct et participer au besoin
Le prix à payer est assurément dans le forfait @Ousseini1 , même s’il revient nettement moins cher que le téléphone traditionnel ou le téléphone mobile. Peut-on avoir le nom de l’application mobile que vous utilisez ? Est-ce en association avec WhatsApp ( je veux dire, est-ce que vous les combiner dans l’utilisation ) ou alors il s’agît de deux possibilités qui s’offrent à vous ?
Si cette application permet d’entendre le studio, sans que l’appel émis n’interrompt la réception du signal de la radio, c’est vraiment une bien nette avancée. Il y a quelques années, nous faisions des retransmissions en direct pour l’une des stations de radio pour lesquelles j’ai eu à travailler. Ce live se faisait par téléphone mobile. Mais une fois l’appel émis, le même téléphone ne pouvait plus te permettre de continuer à écouter la radio. Nous nous continuons directement du son du studio ou de la cabine technique. Toutefois, c’était plus passionnant de se savoir en direct à partir des hauts parleurs du lieu d’où nous faisions le direct. Par exemple pour un match de football ou un concert, nous demandions aux organisateurs de capter la fréquence de la radio. Du coup, quelques minutes avant l’intervention du reporter, c’est la radio qui est écouté sur ce lieu de grand public (pour la circonstance) ; de même, l’animateur en studio depuis la radio fait un clin d’œil à cet espace quand il intervient. Ce qui est aussi assez captivant pour le public sur place.
Je sais qu’à notre niveau nous retransmettons la célébration de la messe à l’église directement pour les auditeurs. Cela s’est fait par câblage. Et quand il s’agit par exemple d’une cérémonie, nous rencontrons tellement de difficultés. Le réseau est très souvent défaillant. Et à chaque 60 minutes il faut relancer parce que c’est une souscription que nous faisons. S’il y’a cette possibilité de retransmettre par WATSAPP nous serons vraiment ravis.
bonjour ibine.peut être sur Watsap dans votre milieu ça peut aller.Mais chez nous en Rdc au sud Kivu il y a encore des difficultés pour avoir le réseaux qui ne sera pas entre coupé.même les réseaux téléphoniques.
Chez vous c’est vraiment plus difficile. Je vous comprend Josué. La zone où nous nous trouvons, il n’y vraiment pas de difficultés majeures de connexion. Sauf, quelques saturations. Et quand il s’agit des GEC nous avons ciblé des zones où il y’a le réseau. Et là encore les GEC n’utilisent pas le même réseau pour leur connexion.
Bonjour. L’avez-vous finalement essayé ? Qu’est ce que ça donne à votre niveau ? Rien de nouveau ; juste une communication classique, sauf que la liaison n’est plus vraiment établie par une compagnie de téléphonie mobile grâce à du crédit de communication, mais par internet (moins coûteux certes, mais pas gratuit). Cela à l’avantage de permettre à l’auditeur de communiquer à son aise, aller au bout de ses idées, sans se soucier de son crédit de communication.
A quoi faites-vous référence, parlant de GEC ? La téléphonie mobile peut être … Chez nous, on parle de GSM (en anglais : Global System for Mobile Communications). Selon Wikipédia, GSM, sigle composé des trois lettres G, S et M, peut faire référence à : Global System for Mobile Communications, selon la liste de sigles en télécommunications et la liste des sigles de la téléphonie mobile. Dérivé de cette abréviation, le terme « GSM » désigne au Luxembourg et en Belgique un téléphone mobile
Bonjour! Oui, nous l’avons essayé. Question de crédit seulement, sinon rien d’autre. C’est plus pratique.
Parlant de GEC, c’est Groupe d’Ecoute Communautaire que nous constituons dans les villages pour les émissions.
Avez-vous des revenus avec les communiqués administratifs dans vos localités ?